Selon un rapport du conseil national du renseignement, remis au Président Macron, au sujet des combattants français de Daech, une quarantaine d’entre-eux aurait rejoint des groupes djihadiste en Libye. Ils constituent, du fait de ce rapprochement géographique, une importante source d’inquiétude, car ils pourraient nourrir des projets de retour clandestins en France.
Des échanges confidentiels entre plusieurs services de renseignement européens font état de projets d’attaques en mer méditerranée et d’opérations kamikaze visant les côtes italiennes, françaises et espagnoles.