Une réunion des services secrets turcs et qataris récemment organisée à Doha a mis en place une stratégie commune pour le continent africain. Le projet porte sur trois volets : investissements économiques, sécurité et coopération politico-militaire.
Aussi étrange que cela puisse paraître, dix ans après la « révolution du jasmin », les millions planqués en Suisse par l’ancien dictateur tunisien Zine el-Abidine Ben Ali et son clan n’ont toujours pas pris le chemin de Tunis.
Bercy lancé de vastes investigations portant sur les sources de financement des associations et des mosquées qui prônent un islam séparatiste, notamment au sien de la mouvance islamiste liée aux Frères Musulmans.
Le nouveau président américain, Joe Biden, peaufine ses équipes en vue de former la prochaine Administration, qui entrera en fonction le 20 janvier prochain.
Le programme d’armement turc portant sur le développement d’un char de combat principal dénommé Altay rencontre de multiples obstacles, en raison du blocage par Paris et Berlin de la livraison de composantes indispensables à sa fabrication.
Dans un courrier daté du 22 août 2020, émis par sa « Notices and Diffusions Task Force », le Secrétariat Général d’Interpol a informé ses Bureaux Centraux Nationaux (NCBs) dans tous les pays membres de l’organisation de sa décision portant sur le rejet de la demande turque d’émettre un mandat d’arrêt international (notice rouge d’Interpol) à l’encontre de l’ancien chef de la « Sécurité préventive » palestinienne, Mohammed Dahlan.
Selon une enquête de l’ONU les groupes djihadistes en Afrique ont mis en place un nouveau moyen de financer leurs activités terroristes, à travers le trafic de faux médicaments. Le mali est désigné comme étant la principale plaque tournante de ce juteux trafic.