La catastrophe sanitaire tant redoutée n’a pas eu lieu au Moyen-Orient, comme dans les pays du Maghreb ou en Afrique, même si rien n’indique que la crise du coronavirus soit sur le point de se terminer et la situation peut encore largement évoluer, surtout avec la seconde vague qui sévit de nouveau dans la région.
Mode d’expression artistique libertaire et subversif, par excellence, le street art a connu une prolifération spectaculaire durant la pandémie du Covid-19. Au moment où les musées, les théâtres, les salles de spectacles et de cinéma étaient obligés à fermer, et alors que le monde de l’art et de la culture subissait de plein fouet les affres du confinement, le street art a réussi l’exploit de faire le mur, au sens propre comme au figuré !
Depuis la mi-février, alors que le régime iranien a tardé à reconnaître l’expansion globale de l’épidémie de coronavirus – et dénonçait « un complot de l’ennemi », dans le double contexte de la célébration de l’anniversaire de la Révolution islamique, le 11 février, et des élections législatives du 21 février – l’Iran, qui reste un des principaux foyers mondiaux de l’épidémie de Covid-19, inquiète ses pays voisins. Ceux-ci n’ont pas tardé à fermer leurs frontières dès le 19 février, avec l’annonce des premières personnes infectées au Moyen- Orient.
L’apparition, en décembre dernier, de l’épidémie due à une nouvelle souche de coronavirus, appelée Covid-19, et son évolution, en l’espace d’à peine trois mois, en pandémie essaimant à l’échelle mondiale, est tout sauf un événement prévisible. Pourtant, un étude prospective élaborée par la CIA présentait, dès novembre 2008, un « scénario » détaillé dont les développements épousent de façon extrêmement déconcertante la tournure inquiétante des événements depuis l’apparition des premiers cas de Covid-19 à Wuhan, en Chine !