Sur instruction du président Emmanuel Macron, le ministère de l’Intérieur Gérald Darmanin planche discrètement sur un projet de référendum concernant les questions d’immigration.
Les réseaux sociaux ont, certes, facilité la communication et le partage d’informations entre les jeunes des cités durant la dernière explosion de violence. D’où la propagation rapide des actes de destruction et de pillage à travers toute la France. Mais, la mort de Nahel n’était qu’un prétexte pour régler son compte à cette société française, accusée d’être responsable de tous les maux dont souffre la jeunesse issue de l’immigration. Des messages haineux contre la société d’accueil circulaient déjà, depuis belle lurette, sur la toile. Et sur Facebook, Telegram, TikTok ou Twitter, des islamistes et d’autres groupes extrémistes s’appliquent, jour et nuit, à instrumentaliser ces réseaux de la discorde à des fins de propagande et de recrutement ou pour inciter des mineurs ou des jeunes adultes à casser, piller et incendier tous les symboles de la République.