Le Président Turc, Recep Erdogan, veut montrer aux grandes puissances qu’il a son mot à dire sur la redistribution des cartes au Moyen Orient et sur la résolution des conflits dans la région, à un moment, qui, plus est, où l’ordre mondial, issu de 1945, fin de la 2ième guerre mondiale, est devenu caduc.
La décision du président Emmanuel Macron de remettre en cause les cours de langue et culture d’origine, dispensés dans les écoles publiques françaises, vise essentiellement « la propagande islamo-nationaliste » des fonctionnaires d’Ankara qui assurent ce type de cours à 15.600 jeunes franco-turcs.
Une réunion des services secrets turcs et qataris récemment organisée à Doha a mis en place une stratégie commune pour le continent africain. Le projet porte sur trois volets : investissements économiques, sécurité et coopération politico-militaire.
Le programme d’armement turc portant sur le développement d’un char de combat principal dénommé Altay rencontre de multiples obstacles, en raison du blocage par Paris et Berlin de la livraison de composantes indispensables à sa fabrication.
Georges Dallemagne, ancien directeur de Handicap International, aujourd’hui député fédéral belge, est de retour du Haut-Karabakh où il a effectué une mission d’observation au cœur du conflit qui y a opposé la minorité arménienne à l’Azerbaïdjan.
Dans cet entretien accordé à Global Watch Analysis, il affirme avoir observé des « crimes de guerre » et confirme la présence de « mercenaires djihadistes » dépêchés sur place par la Turquie.
Le président russe déteste les révoltes populaires dans l’ex-URSS. Qu’il s’agisse aujourd’hui de la Biélorussie, ou de l’Arménie en 2018. La révolution de « velours » a porté au pouvoir Nikol Pachinian. Or, l’actuel Premier ministre arménien ose critiquer l’Union économique eurasiatique, construite autour de la Russie, et ne se montre pas indifférent aux sirènes de l’Union européenne.
Une kyrielle de drapeaux français et des effigies du président Emmanuel Macron ont été brûlés dans tout le Pakistan ces derniers jours alors que le gouvernement du Premier ministre Imran Khan encourageait les partis politiques, les groupes islamiques radicaux, les avocats et les associations d’étudiants à descendre dans la rue par milliers pour dénoncer l’islamophobie perçue en France.