Une récente note du FBI affirme que le service de renseignements des Pasdarans iraniens a tenté, en 2022, de recruter 7 Iraniens ayant la double nationalité américaine. Selon cette note, des cellules iraniennes clandestines sont toujours recherchées à New York, en Virginie et en Californie.
Alors qu’officiellement les secteurs alimentaire, pharmaceutique et médical échappent aux sanctions décrétées contre l’Iran, les États-Unis s’arrangent pour bloquer les livraisons de médicaments pour Téhéran. Leur arme ? Des tracasseries bancaires et administratives sans fin…
En dépit des joutes verbales enflammées et des gesticulations menaçantes promettant de venger sa mort, l’élimination du général Qassim Soleimani, tué par un drone américain, le 3 janvier dernier, non loin de l’aéroport de Bagdad, est un soulagement pour le Régime iranien ! Et pas seulement pour le courant réformiste, mené par le Président Hassan Rohani et son ministre des affaires étrangères, Mohammed Javad Zarif.
Les récentes tensions entre Téhéran et Washington n’ont pas dégénéré en conflit armé, mais elles ont donné naissance à une guerre électronique acharnée. Le dernier épisode de cette affrontement est un vaste plan de cyber espionnage iranien découvert par les services antiterroristes américains.
La décision, prise par Donald Trump, d’éliminer le Général Quassem Souleimani, N°2 du Régime Iranien, transforme indéniablement un conflit qui mijotait lentement en une soudaine poudrière. C’est sans doute la décision la plus dangereuse et la plus risquée prise par un Président Américain depuis la 2ème Guerre du Golfe, en Mars 2003.