En janvier 2020, la justice libanaise demandait l’aide judiciaire de la Suisse concernant des transferts d’argent « suspects ». En janvier 2021, c’est au tour de la justice suisse de s’adresser au Liban concernant un éventuel détournement de fonds « au détriment de la Banque centrale du Liban ».
Dans une lettre ouverte adressée au Président Emmanuel Macron, au Premier ministre, Jean Castex et au ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, 22 personnalités françaises, parmi lesquelles des élus, des intellectuels, des chercheurs et un général de corps d’armée, ont appelé à la dissolution de l’organisation « Musulmans de France » (ex-UOIF), la branche française de la confrérie des Frères musulmans décrite comme étant une « confrérie sécrète qui prône un islam politique et totalitaire » dont « les penseurs ont inspiré le djihadisme mondial ».
Le président russe déteste les révoltes populaires dans l’ex-URSS. Qu’il s’agisse aujourd’hui de la Biélorussie, ou de l’Arménie en 2018. La révolution de « velours » a porté au pouvoir Nikol Pachinian. Or, l’actuel Premier ministre arménien ose critiquer l’Union économique eurasiatique, construite autour de la Russie, et ne se montre pas indifférent aux sirènes de l’Union européenne.
Gêné par les récentes révélations du département d’Etat américain, concernant les liens troubles entre la direction des Frères musulmans et l’Administration Obama, durant le « Printemps arabe », le conseil de la Choura des Frères musulmans vient d’émettre une ordonnance secrète destinée aux cadres de la Confrérie, leur intimant l’ordre de « nier ces révélations » et de « semer le doute » à leur sujet via les réseaux sociaux, selon une procédé « convenu auparavant ». Autrement dit, la direction de la Confrérie incite officiellement ses cadres à mentir aux « familles » (cellules secrètes regroupant les militants initiés des Frères musulmans) ainsi qu’aux partisans et aux sympathisants de la Confrérie !
Mis en examen pour quatre viols, et interdit de quitter le territoire français, le prédicateur a créé en octobre un Centre de formation et de recherche dispensant des cours d’éthique, d’humanisme et de… féminisme. Première recrue : Yacob Mahi, condamné en Belgique en 2019 pour « faits de mœurs » et condamné à trois ans de prison avec sursis.
Le cheikh Mohamed Hassan Dadou est un leader Frère musulman d’origine mauritanienne, résident à Doha, au Qatar. Il est membre du conseil de direction de l’« Union internationale des Oulémas musulmans », une instance liée aux Frères musulmans fondée par le prédicateur égypto-Qatari, Youssef al-Qaradawi, dont il fut longtemps le numéro 2.
Alors que le ministère français de l’Intérieur vient de renouveler l’interdiction de séjour en France de Hani Ramadan (une interdiction qui remonte à avril 2017), le directeur du Centre islamique de Genève (et frère de Tariq Ramadan) réplique en mettant en cause la version officielle des attaques du 11 septembre 2001 !
De retour en Libye, neuf ans après le soulèvement qui à mis fin à la dictature de Mouammar Kadhafi, Bernard-Henry Lévy a soulevé une vive polémique au sein même du clan pro-Sarraj, le chef du mal nommé « gouvernement d’union nationale », que l’auteur de « La barbarie à visage humain » est pourtant venu soutenir, notamment à travers un reportage sur des charniers imputés aux forces du maréchal Haftar à Tarhouna, ville reprise par le forces pro Sarraj, en juin dernier.
Mode d’expression artistique libertaire et subversif, par excellence, le street art a connu une prolifération spectaculaire durant la pandémie du Covid-19. Au moment où les musées, les théâtres, les salles de spectacles et de cinéma étaient obligés à fermer, et alors que le monde de l’art et de la culture subissait de plein fouet les affres du confinement, le street art a réussi l’exploit de faire le mur, au sens propre comme au figuré !