La main de l’Iran est clairement derrière les attentats terroristes du Hamas qui ont frappé Israël, le 7 octobre dernier. Au-delà des clivages traditionnels Sunnites-Chiites, les Mollahs iraniens et le mouvement islamiste palestinien ont un point commun : l’organisation des Frères musulmans et sa doctrine de l’islam politique. Explications.
La décision du nouveau ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, d’interdire le port de l’Abaya (et de son équivalent masculin, le Qamis) à l’école a soulevé une vive polémique. Plusieurs voix se sont élevées, notamment à gauche, pour dénoncer l’instauration d’une‘‘police du vêtement’’ et La France insoumise (LFI) a annoncé son intention d’attaquer cette décision au Conseil d’État. Pourtant, l’interdiction des Abayas et Qamis ne fait guère débat au sein du corps enseignant, comme l’a montré un sondage réalisé par l’IFOP pour notre mensuel Ecran De Veille, en novembre dernier.
Le plus célèbre des ‘‘loups guerriers’’ de la diplomatie chinoise, Lu Shaye, actuellement en poste à Paris, va être rappelé à Pékin où, selon nos sources, il occupera un poste subalterne.
L’ex détenu français au Qatar, Jean-Pierre Marongiu, es décédé le 13 juin à Nancy. Cet ingénieur avait créé une société de formation au management au Qatar. En 2013, il est non seulement spolié par son “associé“ qatari, mais condamné à sept ans de prison. Jean-Pierre Marongiu ne sera libéré qu’en 2018. Depuis, il avait publié plusieurs ouvrages sur sa détention.
Nombreux sont les films consacrés à l’horreur nazie et la Shoah que le Festival de Cannes a accueillis, célébrés et récompensés. Il y a notamment eu le tragi-comique ‘‘La vie est Belle’’ de Roberto Benigni (Grand Prix – 1997), l’émouvant et magistral ‘‘Le pianiste’’ de Roman Polanski (Palme d’Or – 2002), le sombre et poignant ‘‘Ruban Blanc’’ de Michael Haneke (Palme d’Or – 2009) et l’atypique et éblouissant ‘‘Le fils de Saul’’ de Laszlo Nemes (Grand Prix – 2015).
Au terme d’une sélection marquée par une majorité de films traitant de la dualité suspicion / culpabilité, la Palme d’Or du 76ème Festival de Cannes a été remportée par ‘‘Anatomie d’une chute’’, un drame familial français qui décortique les mécanismes du soupçon (et de la culpabilité qui en découle) qui pèsent sur une épouse après la défenestration (accidentelle ?) de son mari.
Grand oublié du palmarès de ce 76ème Festival de Cannes, Nanni Moretti a, à nouveau, conquis la Croisette avec une œuvre poignante teintée d’humour et de mélancolie, à travers laquelle il jette un regard inquiet et sarcastique sur le cinéma d’aujourd’hui.
Après six ans d’absence et dix-sept ans de sobriété (feinte ou réelle ?), le grand maître finlandais de la comédie loufoque, Aki Kaurismäki, revient sur les pas de sa célèbre ‘‘trilogie des perdants’’ (‘‘Au loin s’en vont les nuages’’ – 1996, ‘‘L’homme sans passé’’ – 2002, ‘‘Les lumières du faubourg’’ – 2006). Présenté en compétition officielle, son nouveau film ‘‘Les feuilles mortes’’ a décroché le Prix du Jury et ébloui la Croisette par son esthétique décalée et minimaliste.
S’inspirant de l’histoire vraie d’un drame familial qui a secoué la Tunisie en 2014 : celui d’Olfa Hamrouni et de ses 4 filles, dont deux ont été endoctrinées par Daech, ‘‘Les filles d’Olfa’’ de Kaouther Ben Hania dissèque, avec brio et perspicacité, le processus d’endoctrinement à travers lequel les islamistes opèrent leur lavage de cerveau sur les personnes socialement et psychologiquement fragiles.
Qu’est-ce que Maïwenn a commis de plus inélégant et d’impardonnable ? Avoir tiré les cheveux d’Edwy Plenel ou plombé l’ouverture du 76ème Festival de Cannes avec son insipide et très décevant ‘‘Jeanne du Barry’’ ?