Selon les conclusions d’une enquête confidentielle françaises, le dirigeant du pétrolier Total enlevé en Libye, en avril dernier, puis relâché contre une rançon, était surveillé par des milices alliées au gouvernement de Fayez el-Serraj, depuis le début de l’offensive du maréchal Haftar sur Tripoli.
L’enquête à établi que la prise d’otage était, en réalité, un « message » envoyé à la France par les anti-Haftar, craignant un ralliement de Paris au camp du maréchal.