Depuis plusieurs années – certains témoins parlent de plus de 15 ans – des étudiants musulmans prient chaque jour dans une partie de la bibliothèque de l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Une pratique qui s’est tellement banalisée qu’ils y ont même entreposé quelques caisses de matériel : tapis de prière, voiles, textes d’invocations plastifiés à réciter. Et la statue qui décore la pièce est en permanence recouverte d’un drap. Mais depuis que les faits ont été révélés dans la presse grâce au témoignage anonyme d’un membre du personnel, cette question revient très souvent : « Et alors, où est le problème ? ». La mort dans l’âme, effarée qu’on puisse même la poser, je vais donc tenter d’y répondre.
Accusé d’antisémitisme, le rappeur Médine était au mois d’août l’invité d’honneur des journées d’été des écologistes (EELV) et de la France Insoumise (LFI). Une invitation qui en dit long sur l’état de délabrement intellectuel et moral de la gauche radicale française.
Solidaris, c’est le nom des mutualités socialistes en Belgique. Une vénérable institution, née en 1869 sous la forme d’une caisse de secours coopérative et mutuelliste implantée alors en Wallonie, à Fayt-lez-Manage. Depuis, les Mutualités Socialistes ont bien grandi. Présentes partout sur le terrain tant en Wallonie qu’en Flandre et à Bruxelles, elles œuvrent « au quotidien pour humaniser le changement et réinventer un modèle de société inclusive, émancipatrice et durable. »
Depuis 1998, Solidaris organise un festival qui rassemble chaque année à Namur « un public familial où toutes les générations se retrouvent autour d’un même désir de vivre-ensemble, de justice sociale et de lutte contre les inégalités. »
Ceux qui n’ont vu dans la récente vague de violences urbaines, qui a secoué la France, qu’une énième émeute de banlieues souffrent d’une myopie socio-politique aiguë. Certes, l’étincelle qui fut le point de départ de ces violences n’est pas sans rappeler de précédentes émeutes éclatées à la suite de bavures policières ayant coûté la vie à des jeunes de banlieues, comme ce fut le cas en octobre 2005, après le mort de Zyad et Bouna à Clichy-sous-Bois. Mais, à la différence des émeutes de 2005, les récentes violences urbaines ne peuvent être imputées aux seules banlieues.
Les réseaux sociaux ont, certes, facilité la communication et le partage d’informations entre les jeunes des cités durant la dernière explosion de violence. D’où la propagation rapide des actes de destruction et de pillage à travers toute la France. Mais, la mort de Nahel n’était qu’un prétexte pour régler son compte à cette société française, accusée d’être responsable de tous les maux dont souffre la jeunesse issue de l’immigration. Des messages haineux contre la société d’accueil circulaient déjà, depuis belle lurette, sur la toile. Et sur Facebook, Telegram, TikTok ou Twitter, des islamistes et d’autres groupes extrémistes s’appliquent, jour et nuit, à instrumentaliser ces réseaux de la discorde à des fins de propagande et de recrutement ou pour inciter des mineurs ou des jeunes adultes à casser, piller et incendier tous les symboles de la République.
Selon le ministère français de l’Intérieur, 357 affrontements entre bandes avaient été recensés en 2020, en hausse de près de 25 % par rapport aux 288 enregistrés en 2019. En mars 2020, le gouvernement avait décrété la mobilisation générale contre les rixes entre jeunes, après plusieurs bagarres mortelles, notamment en Ile-de-France. Une urgence : toutes les 44 secondes, selon une enquête de l’Insee, une violence gratuite est commise. Une plainte est déposée toutes les deux minutes !
L’invasion russe de ‘’Ukraine a conduit le gouvernement suisse à imposer des sanctions à la Russie et aux riches oligarques proches de Vladimir Poutine en gelant leurs comptes bancaires suisses. Plus récemment, la Suisse surveille également de près les avoirs chinois dans les banques suisses à la suite de renseignements indiquant que Pékin envisage de fournir à la Russie des armes létales, telles que des drones et des munitions. Selon un rapport du Financial Times, la position ferme de la Suisse sur les sanctions a nourri l’inquiétude des fortunés chinois qui se demandent s’il est encore sûr de garder leur argent en Suisse.
Le 18 novembre 2022, le tribunal de première instance de Bruxelles a condamné un internaute, estimant que son commentaire publié sur le réseau social Facebook mettait gravement en cause mon honneur et ma réputation, qui sont des droits garantis par l’article 8 de la Cour européenne des droits de l’Homme.
En Iran, les revendications féministes sont à l’origine de la mobilisation populaire contre le régime des mollahs. En retirant ou brûlant leur voile en public, les Iraniennes marquent leur opposition à une théocratie vieillissante et usée. Premières victimes de l’oppression, elles savent mieux que personne à quel point la République islamique a fait de cette étoffe l’un de ses piliers idéologiques, reléguant de facto la femme au rang d’être inférieur.
Entre le moment où il a faussé compagnie aux forces de l’ordre venues l’arrêter à son domicile de Lourches, le 30 août dernier, et son arrestation par la police belge, près de Mons, le 30 septembre, l’affaire du prédicateur frère musulman, Hassan Iquioussen, a été abondamment commentée.
Son profil d’imam autoproclamé aux propos controversés ; son itinéraire de ‘‘prêcheur des cités’’ à l’ombre de ‘‘Musulmans de France’’ (Ex-UOIF), la branche hexagonale des Frères musulmans ; sa fulgurante carrière d’islamo-youtubeur, dont les vidéo-prêches comptabilisent plus de 34 millions de vues ; ont été examinés sous toutes les coutures.