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Abdul Rahman al-Suwaidi : 35 ans dans l’enfer des Frères musulmans (2/5)

Abdul Rahman al-Suwaidi : 35 ans dans l’enfer des Frères musulmans (2/5)

Abdul Rahman al-Suwaidi est un ancien leader islamiste émirati. Repenti, il délivre ici un témoigne implacable sur les 35 années qu’il a passées dans l’enfer des Frères musulmans. Face à nos caméras, il divulgue, dans série d’entretiens sans concessions, les secrets les mieux gardés de la Confrérie, démasque son double discours et révèle l’entendue de ses tentacules cachés implantées à travers le monde…

 

Abdul Rahman al-Suwaidi : 35 ans dans l’enfer des Frères musulmans (1/5)

Abdul Rahman al-Suwaidi : 35 ans dans l’enfer des Frères musulmans (1/5)

Abdul Rahman al-Suwaidi est un ancien leader islamiste émirati. Repenti, il délivre ici un témoigne implacable sur les 35 années qu’il a passées dans l’enfer des Frères musulmans. Face à nos caméras, il divulgue, dans série d’entretiens sans concessions, les secrets les mieux gardés de la Confrérie, démasque son double discours et révèle l’entendue de ses tentacules cachés implantés à travers le monde…

 

Interview avec Christian Chesnot et Georges Malbrunot, auteurs du livre Qatar Papers

Interview avec Christian Chesnot et Georges Malbrunot, auteurs du livre Qatar Papers

Après avoir consacré précédemment deux livres aux aspects les moins reluisants de la politique qatarie, intitulés « Qatar, les secrets du coffre fort » (Michel Lafon, 2013) et « Nos chers émirs » (Michel Lafon, 2016), Christian Chesnot et Georges Malbrunot reviennent avec un livre choc intitulé « Qatar Papers ».

 

Théo Padnos : le Qatar m’a utilisé pour financer al-Qaida !

Théo Padnos : le Qatar m’a utilisé pour financer al-Qaida !

Journaliste et essayiste américain, Theo Padnos, a été enlevé et détenu durant 22 mois par les djihadistes de l’organisation al-Nosra, la filiale d’al-Qaida en Syrie. Durant sa captivité, il a subi de multiple formes de torture, du « simulacre de noyade » rendu célèbre par les « interrogatoires musclés » de la CIA à Guantanamo, aux mises en scène macabres visant à lui faire croire qu’il allait être pendu ou enterré vivant. Il a pourtant gardé espoir, convaincu qu’il allait recouvrer la liberté : comprenant l’arabe, il a pris l’habitude de tendre l’oreille, pour écouter discrètement les conversassions de ses geôliers. Il a, ainsi, fini pas comprendre que ses ravisseurs avaient conclu, au préalable, un accord secret avec les Qataris visant à obtenir du financement, sous prétexte du paiement, par Doha, d’une rançon pour sa libération…