De plus en plus de sources au sein de la communauté européenne du renseignement évoquent des efforts soutenus de groupes djihadistes visant à mener des attaques chimiques en Europe.
Selon un rapport établi par une grande centrale du renseignement européen, les différentes milices libyennes ont récolté plus de 520 millions d’euros, en un an, en organisant ou en facilitant le trafic de migrants africains à destination de l’Europe.
Al-Qaida tente d’opérer un retour retentissant au devant de la scène terroriste internationale.
Un rapport confidentiel émis par une grande agence de renseignement fait état d’une nouvelle forme de menace terroriste envisagée par Daech.
Journaliste et essayiste américain, Theo Padnos, a été enlevé et détenu durant 22 mois par les djihadistes de l’organisation al-Nosra, la filiale d’al-Qaida en Syrie. Durant sa captivité, il a subi de multiple formes de torture, du « simulacre de noyade » rendu célèbre par les « interrogatoires musclés » de la CIA à Guantanamo, aux mises en scène macabres visant à lui faire croire qu’il allait être pendu ou enterré vivant. Il a pourtant gardé espoir, convaincu qu’il allait recouvrer la liberté : comprenant l’arabe, il a pris l’habitude de tendre l’oreille, pour écouter discrètement les conversassions de ses geôliers. Il a, ainsi, fini pas comprendre que ses ravisseurs avaient conclu, au préalable, un accord secret avec les Qataris visant à obtenir du financement, sous prétexte du paiement, par Doha, d’une rançon pour sa libération…
S’il est évident que le feu couve encore sous les cendres de l’organisation daechienne, l’une des questions principales, que se posent les spécialistes de la lutte antiterroriste, porte sur les stratégies de survie que Daech va adopter, suite à l’effondrement du proto-Etat du califat, en Irak et en Syrie. Amni, son service de renseignement, se trouve au cœur de cette mutation…