Mode d’expression artistique libertaire et subversif, par excellence, le street art a connu une prolifération spectaculaire durant la pandémie du Covid-19. Au moment où les musées, les théâtres, les salles de spectacles et de cinéma étaient obligés à fermer, et alors que le monde de l’art et de la culture subissait de plein fouet les affres du confinement, le street art a réussi l’exploit de faire le mur, au sens propre comme au figuré !
De tous les chefs des milices qui se disputent le pouvoir en Libye, depuis la chute de Kadhafi, Abdelhakim Belhaj est le plus controversé. Né en 1966, dans le quartier populaire de Souk al-Joumâa, à Tripoli, il rejoint, à 22 ans, les rangs des moudjahidines arabes en Afghanistan, où il fonde avec d’autres djihadistes, parmi ses compatriotes, le Groupe Islamique Combattant Libyen (GICL).
La mort du fils cadet du fondateur d’al-Qaida, Hamza Ben Laden (30 ans), annoncée fin juillet dernier, puis confirmée officiellement par le Pentagone le 22 août, est l’un des coups les durs que la maison-mère du djihadisme mondial a subi, depuis la mort de son fondateur en mai 2011.
Peut-on financer ouvertement le « cerveau » de l’attentat terroriste le plus spectaculaire et le plus meurtrier de l’Histoire, qui a ébranlé la première puissance mondiale, faisant près de 3000 victimes, et échapper à toute poursuite ou inculpation ?Pis encore, peut-on être inscrit sur les listes noires de l’ONU et du Trésor américain et continuer, durant dix ans, à accéder, en douce, à ses avoirs censés être gelés, pour y retirer la coquette somme de 120 milles dollars par an, soit 10.000 $ par mois ?