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Les Sœurs musulmanes, des auxiliaires à l’ombre des Frères !

Les Sœurs musulmanes, des auxiliaires à l’ombre des Frères !

Fondée en 1933 par Hassan Al-Banna en Égypte, la branche féminine de la Confrérie reste marginalisée. Elle n’accède toujours pas à la hiérarchie de l’organisation. Les ouvrages de référence sur les Frères musulmans, comme The society of the Muslim Brothers de l’Américain Richard Mitchell, Les Frères musulmans des origines à nos jours, de l’Égyptien Amr Elshobaki, A modern history of the Ismalic World, de l’Allemand Reinhard Schulze. Ou encore Le Projet, d’Alexandre Del Val et d’Emmanuel Razavi, ne consacrent que quelques lignes aux Sœurs musulmanes. Elles jouent pourtant un rôle non négligeable pour le moral des troupes.

 

Sœurs musulmanes : un cheval de Troie au cœur des instances européennes

Sœurs musulmanes : un cheval de Troie au cœur des instances européennes

88 ans après sa création en 1933, la branche féminine des Frères musulmans reste très marginalisée. Les Sœurs musulmanes sont le plus souvent cantonnées au rôle d’auxiliaires à l’ombre des Frères. Paradoxalement, on observe un phénomène inverse en Europe : les Sœurs sont délibérément mises en avant, comme des symboles d’ouverture et de modernité. Elles servent ainsi de cheval de Troie islamiste pour mieux infiltrer la société civile et siphonner les subventions des instances européennes !

 

Le Maghreb tourne la page des gouvernements islamistes

Le Maghreb tourne la page des gouvernements islamistes

Coup sur coup, les déconvenues se sont succédées pour les Frères musulmans au Maghreb, depuis le printemps 2021. Des législatives algériennes, en avril, aux élections générales marocaines, en septembre, en passant par le coup de force institutionnel du Président Kaïs Saïed en Tunisie, en juillet, les pays du Maghreb ont tourné – chacun à sa manière – la page des gouvernements islamistes arrivés (ou associés) au pouvoir, un décennie auparavant, dans le sillage du « Printemps arabe »

 

Tunisie : Fin de partie pour les islamistes d’Ennahda !

Tunisie : Fin de partie pour les islamistes d’Ennahda !

A l’issue de plusieurs semaines de grogne populaire, provoquée par une grave dégradation de la situation économique et sanitaire, qui a atteint son apogée le 25 juillet – jour anniversaire de l’instauration de République en Tunisie – avec une journée de protestation appelant au limogeage du gouvernement et à la dissolution du parlement, marquée par le saccage de plusieurs sièges d’Ennahda, le parti islamiste au pouvoir, notamment dans les villes pauvres du sud du pays ; le président Kaïs Saïed a décidé de porter un « coup d’arrêt » radical à la crise politique et sociale qui secoue la Tunisie.

 

Un chef du Hamas filmé avec une prostituée dans un hôtel israélien !

Un chef du Hamas filmé avec une prostituée dans un hôtel israélien !

Le leader du Hamas Abdel Rahim Abou Fanah, président du comité de la Zakat [Aumône légal islamique, l’un des principaux canaux de collecte de dons par le Hamas] au sein de l’organisation islamiste palestinienne, a enflammé les réseaux sociaux arabes : Dans une vidéo filmée au téléphone portable, par un jeune homme s’exprimant en dialecte arabe palestinien, ce cadre du Hamas est apparu nu, en compagnie d’une prostituée, dans ce qui semble être un hôtel israélien, comme l’indique des écriteaux en hébreu sur les meubles.

 

Financements qataris : Les lourds silences de l’Éducation nationale sur le lycée Averroès de Lille

Financements qataris : Les lourds silences de l’Éducation nationale sur le lycée Averroès de Lille

Suite aux révélations du livre « Qatar Papers » sur les financements qataris octroyés au lycée Averroès à Lille, Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale a commandé deux rapports. Deux ans plus tard, ces rapports destinés à déterminer si les financements étrangers en question sont de nature à révoquer le contrat qui lie ce lycée, fondé et dirigé par des Frères musulmans, à l’éducation nationale (et donc de lui couper les financements publics), n’ont toujours pas été rendu publics…

 

Ian Hamel innocenté par la justice suisse des accusations de « diffamation et calomnie » proférées par Tariq Ramadan

Ian Hamel innocenté par la justice suisse des accusations de « diffamation et calomnie » proférées par Tariq Ramadan

Le 30 janvier 2019, Tariq Ramadan déposait plainte contre notre confrère Ian Hamel, pour « diffamation » et « calomnie », suite à la publication d’un article paru le 26 novembre 2018 sur le site du magazine Le Point, intitulé « Le gouvernement genevois confirme les accusations portées contre Tariq Ramadan ». Le texte était une synthèse d’un rapport commandé par le Conseil d’État (le gouvernement) de Genève sur le comportement du prédicateur lorsqu’il était enseignant dans un collège en Suisse entre 1984 et 2004. Le rapport confirmait les accusations portées contre Tariq Ramadan dans la presse helvétique, à savoir qu’il était soupçonné d’avoir eu des relations sexuelles avec certaines de ses élèves. Le 21 janvier 2021, une ordonnance de classement de cette plainte a été prise par Olivier Jornot, procureur général du canton de Genève, innocentant ainsi notre confrère des accusations de « diffamation » et de « calomnie » proférées à son encontre par le petit fils du fondateur des Frères musulmans.

 

L’European Muslim Network de Tariq Ramadan : la fin d’une coquille vide !

L’European Muslim Network de Tariq Ramadan : la fin d’une coquille vide !

Sur son site internet, Tariq Ramadan rappelle encore aujourd’hui qu’il est président d’European Muslim Network (EMN) à Bruxelles, un groupe de réflexion et d’action créé en octobre 2009.

 

Le centre Chifa de Tariq Ramadan embauche un ancien professeur condamné pour incitation à la débauche !

Le centre Chifa de Tariq Ramadan embauche un ancien professeur condamné pour incitation à la débauche !

Mis en examen pour quatre viols, et interdit de quitter le territoire français, le prédicateur a créé en octobre un Centre de formation et de recherche dispensant des cours d’éthique, d’humanisme et de… féminisme. Première recrue : Yacob Mahi, condamné en Belgique en 2019 pour « faits de mœurs » et condamné à trois ans de prison avec sursis.