Un rapport interne de la Banque mondiale révèle qu’une bonne partie de l’aide au développement, destinée notamment au continent africain, est détournée vers des centres financiers offshores et ne participe donc pas à la réduction de la pauvreté.
En janvier 2020, la justice libanaise demandait l’aide judiciaire de la Suisse concernant des transferts d’argent « suspects ». En janvier 2021, c’est au tour de la justice suisse de s’adresser au Liban concernant un éventuel détournement de fonds « au détriment de la Banque centrale du Liban ».