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Quels repreneurs pour les mosquées dont l’Arabie saoudite cherche à se séparer en Occident ?

Quels repreneurs pour les mosquées dont l’Arabie saoudite cherche à se séparer en Occident ?

Sous l’impulsion du nouveau patron de Ligue islamique mondiale, Mohammed Bin Abdulkarim Al-Issa, un proche du prince héritier, Mohammed Bin Salman, l’Arabie saoudite a annoncé, en janvier, qu’elle allait se séparer des mosquées qu’elle contrôle en Occident et qui ont longtemps servi à la propagation de l’idéologie wahhabite. Mais cinq mois plus tard, Riyad n’a pas trouvé de repreneurs. Et ce désengagement saoudien fait craindre une prise de contrôle de ces mosquées par des acteurs plus radicaux encore. Les mosquées en questions sont convoitées par certains États peu recommandables, comme la Turquie d’Erdogan, et par des groupes non étatiques, comme les Frères musulmans ou les mouvements salafistes.

 

Complicités locales dans l’attaque iranienne contre Aramco

Complicités locales dans l’attaque iranienne contre Aramco

Selon une note confidentielle émise par un service de renseignement occidental, les Pasdaran iraniens auraient bénéficié, lors de l’attaque contre les sites pétroliers d’Abqaïq de Khurais, de la compagnie saoudienne Aramco, le 14 septembre 2019, de complicités locales au sol.