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Présidentielle 2022 : une radicalité nommée abstention

Présidentielle 2022 : une radicalité nommée abstention

Méfions nous des scrutins qui semblent pliés d’avance. S’il y a une leçon à retenir de cette singularité française qui consiste à élire le Président de la République au suffrage universel, il s’agit bien de celle-là ! Ces chers ‘‘Gaulois réfractaires’’ prennent un malin plaisir à démentir les prédictions, rejetant l’idée que médias, analystes ou sondages – ces outils de mesure du débat démocratique, dont ils raffolent par ailleurs – puissent leur ‘‘imposer’’ la fatalité d’un scénario électoral inéluctable.

 

Islam, islamisme, communautarisme : Qu’en pensent les Français ?

Islam, islamisme, communautarisme : Qu’en pensent les Français ?

Les question liées à l’islam sont au cœur de la campagne présidentielle. Aux craintes grandissantes suscitées par la menace terroriste, depuis les attaques djihadistes de 2015, s’est additionnée une large prise de conscience des dangers que peuvent constituer les dérives communautaires et séparatistes.

 

La France veut priver les Frères musulmans de la rente du pèlerinage à la Mecque

La France veut priver les Frères musulmans de la rente du pèlerinage à la Mecque

Les ministères français de l’Intérieur et de l’Économie ont créé un groupe de travail conjoint, en vue de mieux contrôler les circuits financiers liés aux agences de voyage spécialisées dans la vente de billets et forfaits pour le Hadj, le grand pèlerinage annuel à la Mecque.

 

85% des Français favorables à une interdiction des Frères musulmans

85% des Français favorables à une interdiction des Frères musulmans

Selon un sondage exclusif (IFOP pour notre mensuel Ecran de Veille), réalisé du 22 au 28 février 2022, sur un échantillon de 3007 personnes agées de 18 ans et plus, portant sur les moyens de lutter contre l’islamisme, 85 % des français soutiennent la proposition, émise par plusieurs candidats à présidentielle, visant à « interdire les organisations islamistes liées aux Frères musulmans et à toute la mouvance qui y est liée ».

 

Face à la montée de l’islamisme, où va la République ?

Face à la montée de l’islamisme, où va la République ?

Qui l’eût cru ? La République qui a pourtant évacué la religion hors du champ politique et inventé la laïcité, succombe petit à petit aux pressions des islamistes de toutes obédiences, qui tentent de tester sa réaction face aux pressions systématiques destinées à imposer leur dictature morale en s’attaquant à la liberté de conscience, voire à la liberté tout court.
Les ennemis de la civilisation occidentale travaillent jour et nuit pour un seul but : abattre cette modernité politique et ses lois positives et appliquer la loi islamique dans un premier temps dans les quartiers à majorité musulmane, puis ensuite dans toute l’Europe. Les Européens se transformeront-ils, ainsi, en dhimmis sur leur propre terre dans les décennies qui viennent ?

 

Islam : La dissolution du CFCM sonnera-t-elle le glas de l’islamisme politique ?

Islam : La dissolution du CFCM sonnera-t-elle le glas de l’islamisme politique ?

Longtemps la branche internationale des Frères musulmans a bénéficié de la bienveillance des autorités et des largesses des législations sur l’asile politique dans les pays européens. Durant près d’un demi-siècle, une double aberration a prévalu à ce propos.
Il y avait tout d’abord cette contradiction sémantique criante dite de l’« islamisme modéré ». Car, comment peut-on être ‘‘modéré’’, ni même tolérant, tout en se revendiquant d’une vérité divine imperméable à toute critique ou examen de conscience ?

 

France et Belgique : L’épineuse question de l’organisation du culte musulman

France et Belgique : L’épineuse question de l’organisation du culte musulman

La problématique de l’organisation du culte musulman en Europe n’est pas nouvelle. Elle est liée à de nombreux aspects, à la fois culturels, nationaux et linguistiques. Depuis la fin des années 1980, les pouvoirs publics de plusieurs pays européens exhortent les responsables musulmans à gérer leur culte. Mais les institutions destinées à organiser le culte musulman demeurent instables et peu représentatives.

 

Le CFCM emporté par l’islam ‘‘politique’’ et ‘‘consulaire’’

Le CFCM emporté par l’islam ‘‘politique’’ et ‘‘consulaire’’

Avec le lancement du Forum de l’Islam de France (FORIF), dont la première cession s’est tenue à Paris, le 5 février, au conseil économique, social et environnemental, c’est une calamiteuse parenthèse de près de 20 ans qui vient de se refermer. En actant, en décembre dernier, la ‘‘mort’’ du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), le ministère de l’Intérieur, en charge des cultes, a fini par se rendre à l’évidence que ce Conseil était devenu un obstacle à la lutte contre le séparatisme islamiste, tant il était laminé par l’entrisme des Frères musulmans et les querelles intestines dites de l’« islam consulaire », liées aux allégeances des différentes fédérations de l’islam de France aux pays d’origine de leurs membres.

 

Les Frères musulmans infiltrent le Conseil national des imams

Les Frères musulmans infiltrent le Conseil national des imams

En septembre dernier, le nouveau recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chams-Eddine Hafiz, publiait un retentissant livre intitulé ‘‘Le manifeste contre le terrorisme islamiste’’, dans lequel il fustigeait les tenants de l’islam politique. Il s’imposait ainsi comme un chantre de l’islam modéré. Nul ne pouvait alors imaginer que, moins de trois mois plus tard, l’éclairé recteur allait effectuer un étrange et radical revirement, pour s’allier aux Frères musulmans, la maison-mère de l’islamisme, contre le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), dirigé par son rival Mohamed Moussaoui.

 

Présidentielle : Maître Zemmour sur un arbre perché !

Présidentielle : Maître Zemmour sur un arbre perché !

Quoi de plus naturel qu’au terme du mandat d’un Président perçu – à tort ou à raison – comme le ‘‘Président des riches’’, le pouvoir d’achat soit la préoccupation première des Français ? Que la référence au peuple redevienne (comme elle n’aurait jamais dû cesser de l’être) la thématique centrale du débat politique ?
Fallait-il, pour autant, que la défense des ‘‘petites gens’’ débouche sur cette haine viscérale des élites ? Que le souci des plus faibles donne naissance à une dérive populiste dont l’objet n’est pas de voler au secours des ‘‘laissés pour compte’’, mais d’instrumentaliser la détresse du peuple et de nourrir son ressentiment, pour en faire une force destructrice portée par les pulsions les plus viles : racisme, suprématisme, repli sur soi et haine de l’autre…