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Pourquoi Erdogan aime le Hamas

Pourquoi Erdogan aime le Hamas

Parmi les incendiaires qui attisent le brasier du conflit Israël-Hamas en passe de dévorer le Moyen-Orient et peut-être le monde, Recep Tayyip Erdogan occupe une place majeure. Président d’une grande nation musulmane, membre de l’OTAN, et qui réclame son intégration à l’espace européen, il s’est fendu d’une proclamation fracassante et sinistre. Le 26 octobre dernier, à trois jours du centenaire de la République fondée par Atatürk, Erdogan a déclaré devant le Parlement de son pays : « Le Hamas n’est pas un groupe terroriste, c’est un groupe de libérateurs qui protègent leur terre ! ».

 

Erdogan a-t-il définitivement lâché les Frères musulmans ?

Erdogan a-t-il définitivement lâché les Frères musulmans ?

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, est-il en passe de lâcher les Frères musulmans ? L’AKP du Raïs turc se réclame de la même idéologie que la Confrérie : L’islamisme politique. Mais, les raisons de ce renoncement ne sont pas idéologiques. Elles sont liées à la violente crise économique qui frappe Ankara. Et les sondages qui donnent le Président turc perdant aux prochaines élections.

 

Biden parviendra-t-il à stopper l’expansionnisme néo-ottoman d’Erdogan ?

Biden parviendra-t-il à stopper l’expansionnisme néo-ottoman d’Erdogan ?

L’ottomanesque Recep Tayyip Erdogan essaie de retisser la fibre nationaliste, par la provocation extérieure, parce qu’il est affaibli, à l’intérieur, par une économie moribonde et une impopularité croissante.C’est un jeu dangereux parce qu’il veut se projeter, au-delà de ses frontières, et cherche, à nouveau, à régler ses comptes avec ses ennemis historiques arméniens, dont la Turquie est responsable du génocide de 1915. Ce que Erdogan nie. Et c’est une honte.

 

Erdogan : le sens caché du nouveau massacre des arméniens au Haut Karabakh

Erdogan : le sens caché du nouveau massacre des arméniens au Haut Karabakh

« Qu’est-ce qu’un fanatique, disait Churchill : une personne qui ne veut jamais changer d’avis ni changer de sujet. » Les massacres qui se sont récemment déroulés dans le Caucase nous renvoient à ce fanatisme vieux de plus d’un siècle : le génocide des Arméniens en 1915.

 

Union Européenne : Faire face à Erdogan, le belliqueux !

Union Européenne : Faire face à Erdogan, le belliqueux !

Le Président Turc, Recep Erdogan, veut montrer aux grandes puissances qu’il a son mot à dire sur la redistribution des cartes au Moyen Orient et sur la résolution des conflits dans la région, à un moment, qui, plus est, où l’ordre mondial, issu de 1945, fin de la 2ième guerre mondiale, est devenu caduc.

 

Erdogan en nouveau parrain du fascisme islamique

Erdogan en nouveau parrain du fascisme islamique

Toujours plus fort, toujours plus fou. Recep Tayyip Erdogan s’est intronisé « deuxième conquérant » de Sainte-Sophie après Mehmet II en 1453. Il l’a proclamé dans son « message à la nation » diffusé à la télévision ce jour funèbre du 10 juillet 2020 où fut annulé le décret d’Ataturk de 1934 transformant l’édifice en musée. Mustapha Kemal avait rendu à l’humanité la basilique, joyau de la chrétienté pendant 916 ans, puis mosquée phare de l’empire ottoman pendant cinq siècles. Il voulait en finir avec la fracture Islam-Occident et apaiser les conflits. Erdogan, lui, les rallume.

 

Quand le parti d’Erdogan prétend que son chef est plus populaire que le prophète Mahomet !

Quand le parti d’Erdogan prétend que son chef est plus populaire que le prophète Mahomet !

Profitant de la compagne de boycott anti-française, orchestrée par des oulémas islamistes, dans plusieurs pays musulmans, suite à la republication des caricatures de Mahomet, le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est autoproclamé chef de file d’un prétendu mouvement pour la défense du prophète de l’Islam.

 

Quand la Turquie joue la russie contre les Etats-Unis

En décidant de se procurer des missiles Sol Air Russes S400, parmi les plus sophistiqués au monde, capables d’atteindre plus de 80 cibles à la fois, le Président Turc, Receps Erdogan, n’a fait que défier les États-Unis et hypothéquer les chances de maintien de son pays au sein de l’OTAN.