Les médias internationaux sont tellement focalisés sur l’épidémie de coronavirus qui se propage rapidement dans le monde entier, qu’un grave incident survenu dans la ville portuaire pakistanaise de Karachi est passé presque inaperçu. L’incident s’est produit près de la zone portuaire de Karachi dans la nuit du 16 février, où il a été rapporté qu’en raison d’une mystérieuse fuite de gaz, au moins 14 personnes ont été tuées et plusieurs centaines hospitalisées avec des douleurs à la poitrine, des yeux brûlants et des difficultés respiratoires. Le gouvernement du Sind a ensuite ordonné l’évacuation de la zone résidentielle côtière de Keamari, qui a été la plus touchée.
Le 16 avril, trois sénateurs français, Christian Cambon, Olivier Cadic et Rachel Mazuire, tous membres de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, ont publié une étude intitulée « Désinformation, cyber attaques et cyber malveillance l’autre guerre COVID-19 » qui recommande au gouvernement de mettre en place une force de réaction cyber pour lutter contre les fake news et répondre à la stratégie adoptée par certaines puissances étrangères pour influencer les lecteurs en ligne.
Alors que Taïwan a alerté l’OMS de l’émergence du Covid-19 et de la possibilité d’une transmission entre humains, plusieurs semaines avant la Chine, l’institution spécialisée de l’ONU continue à boycotter Taipei, à la demande de Pékin.
Tout comme la communauté internationale a convenu de la nécessité de travailler conjointement pour surmonter les défis posés par la pandémie actuelle de Covid-19, il faut aussi parvenir rapidement à un consensus, pour s’opposer conjointement au mépris flagrant de la Chine pour les normes mondiales et à ses tentatives répétées de déformer les faits, dans le but de contourner les réglementations internationales.
Un contrat a récemment été signé avec des sociétés d’armement russes, pour installer en Chine un centre d’entretien et de réparation des systèmes de défense sol-air S-400.
L’armée chinoise a procédé aux tests de son nouveau missile balistique intercontinental Dong Feng-41. Ce missile à trois étages, à propergol solide, peut être lancé à partir de silos ou de plateformes mobiles. Il a une portée comprise entre 12.000 et 15.000 kilomètres.
Dans un récent rapport, Interpol met en garde contre un plan secret du ministère chinois de la Sécurité d’Etat, visant à profiter de la crise migratoire pour installer des réseaux d’espionnage en Europe.
Selon une source spécialisée dans les technologies de défense, la Chine aurait réussi à modifier et à rallonger d’une quinzaine de mètres un sous-marin de fabrication russe de la classe Kilo, connu aussi dans le jargon militaire sous le nom de « projet 8777EKM ».