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Corridor économique Chine-Pakistan : des désaccords qui illustrent la brutalité du néo impérialisme chinois !

Corridor économique Chine-Pakistan : des désaccords qui illustrent la brutalité du néo impérialisme chinois !

Le président chinois Xi Jinping a clairement affiché ses ambitions expansionnistes moins d’un an après avoir pris ses fonctions de secrétaire général du Parti communiste chinois (PCC) lorsqu’il a lancé l’ambitieuse Initiative Ceinture et Route (ICR) qui traverse l’Asie, l’Europe et l’Afrique, reliant des dizaines de pays. Et le premier pays à s’être associé à la Chine, dans le cadre de l’ICR, a été le Pakistan, lorsque le Corridor économique Chine-Pakistan (CECP), d’un montant de 62 milliards de dollars, comprenant un large éventail de projets d’infrastructure, a été signé en grande pompe en 2015. En raison de son étendue, le CECP, souvent désigné au Pakistan comme le projet phare de l’ICR, offre à l’observateur une vue d’ensemble des objectifs réels et des ambitions de Xi Jinping par rapport à cette initiative.

 

Comment faire face aux « loups guerriers » de la diplomatie chinois ?

Comment faire face aux « loups guerriers » de la diplomatie chinois ?

Une nouvelle expression a récemment fait son apparition dans les médias et les cercles diplomatiques internationaux : les « loups guerriers » terme désignant les nouveaux diplomates chinois très affirmés, qui utilisent Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux pour s’en prendre à toute personne, morale ou physique, qui critique la Chine ou le Parti communiste chinois (PCC). Cette diplomatie agressive chinoise a tout particulièrement attiré l’attention, ces derniers temps , en raison des efforts acharnés de la Chine pour se distancer de toute association avec le Covid ou accusation de responsabilité dans la propagation du virus. Mais le phénomène n’est pas, tout à fait, nouveau. Car, depuis des années, les diplomates chinois ont tendance à être de plus en plus agressifs.

 

Népal : Le nouvel État satellite de Chine

Népal : Le nouvel État satellite de Chine

La politique de la Chine consistant à corrompre la classe politique d’un pays, en particulier celles qui sont économiquement fragiles, est bien connue. De nombreux pays d’Afrique, d’Asie du Sud et du Sud-Est, et d’Amérique latine ont été la proie de ces machinations chinoises et certains sont aujourd’hui profondément endettés envers la Chine.

 

Népal : les sulfureuses accointances chinoises du premier ministre KP Sharma Oli

Népal : les sulfureuses accointances chinoises du premier ministre KP Sharma Oli

Le modus operandi souvent appliqué par la Chine pour faire des percées dans les pays économiquement plus faibles, que ce soit en Asie, en Afrique ou en Amérique latine, consiste à conclure des accords avec des chefs d’État corrompus. Cela permet aux entreprises chinoises de promouvoir non seulement leurs intérêts commerciaux dans ce pays, mais aussi à l’État chinois de pénétrer subrepticement dans le système politique de la nation, dans le but d’assurer son influence à long terme. La nation himalayenne du Népal apparaît comme un exemple classique de cette machination chinoise où le parti communiste népalais au pouvoir, dirigé par le Premier ministre KP Sharma Oli, semble défendre de manière flagrante les intérêts chinois, au point de mettre mal à l’aise de nombreux membres haut placés de son parti.

 

Paris et Pékin tentent de désamorcer la crise des fake news covidiènnes

Paris et Pékin tentent de désamorcer la crise des fake news covidiènnes

Paris et Pékin multiplient les contacts et les initiatives visant à désamorcer les effets de la crise diplomatique qui avait éclaté entre les deux pays, en plein pandémie du Covid-19, suite à des « publications agressives » émises par l’ambassade de Chine à Paris, dénoncées par le quai d’Orsay comme étant des fake news.

 

La pandémie du Covid 19 exacerbe le ressentiment anti chinois

La pandémie du Covid 19 exacerbe le ressentiment anti chinois

La pandémie du Covid 19 exacerbe le ressentiment anti chinois dans les pays d’Asie centrale. Mais, malgré la grogne des populations, les gouvernements locaux, financièrement vulnérables à l’égard de Pékin, peinent à s’opposer au néo-impérialisme chinois.

 

Le fake news au temps du Coronavirus

Le fake news au temps du Coronavirus

Le 16 avril, trois sénateurs français, Christian Cambon, Olivier Cadic et Rachel Mazuire, tous membres de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, ont publié une étude intitulée « Désinformation, cyber attaques et cyber malveillance l’autre guerre COVID-19 » qui recommande au gouvernement de mettre en place une force de réaction cyber pour lutter contre les fake news et répondre à la stratégie adoptée par certaines puissances étrangères pour influencer les lecteurs en ligne.

 

Taïwan a averti de l’émergence du virus dès décembre, mais l’OMS inféodée à la Chine a fait la sourde oreille !

Taïwan a averti de l’émergence du virus dès décembre, mais l’OMS inféodée à la Chine a fait la sourde oreille !

Alors que Taïwan a alerté l’OMS de l’émergence du Covid-19 et de la possibilité d’une transmission entre humains, plusieurs semaines avant la Chine, l’institution spécialisée de l’ONU continue à boycotter Taipei, à la demande de Pékin.

 

La Chine, leader mondial de la prolifération nucléaire et… de virus !

La Chine, leader mondial de la prolifération nucléaire et… de virus !

Tout comme la communauté internationale a convenu de la nécessité de travailler conjointement pour surmonter les défis posés par la pandémie actuelle de Covid-19, il faut aussi parvenir rapidement à un consensus, pour s’opposer conjointement au mépris flagrant de la Chine pour les normes mondiales et à ses tentatives répétées de déformer les faits, dans le but de contourner les réglementations internationales. 

 

Coopération sino-russe sur les systèmes de défense sol-air

Coopération sino-russe sur les systèmes de défense sol-air

Un contrat a récemment été signé avec des sociétés d’armement russes, pour installer en Chine un centre d’entretien et de réparation des systèmes de défense sol-air S-400.