Un récent rapport du département américain de la Défense soumis au Congrès des États-Unis conclut que, bien que les représentants des États-Unis et des Taliban aient signé un accord, le 29 février, pour mettre fin au conflit en Afghanistan, plusieurs événements ultérieurs ont soulevé des questions quant à la mise en place du processus de paix.
Le corridor économique Chine-Pakistan (CPEC), l’un des projets phares de l’initiative chinoise de la nouvelle route de la soie (BRI), vit le jour, en grandes pompes, il y a près de 5 ans. Cependant, la progression du CPEC a été entravée par des questions portant sur la viabilité économique de ces projets pour le Pakistan, la présence chinoise sans cesse croissante dans le pays et de nombreuses inquiétudes environnementales.
Les conséquences de la pandémie du coronavirus différent d’une région à une autre de la planète. Elle s’accentuent notamment dans les zones de conflits où les systèmes de santé ne fonctionnent plus ou sont défaillants. Le risque principal est de voir s’exacerber des tensions et conflits existants, notamment au Moyen-Orient. Ainsi la stabilité de cette région qui s’étend du Golfe arabo-persique au Maghreb est essentielle pour l’équilibre économique et sécuritaire du monde.
C’est une toute petite fiche dans la jungle des recommandations administratives émises en France, à l’occasion du déconfinement, mais elle constitue un énorme pas dans la lutte contre le communautarisme. Ce document de trois pages émis par le ministère de l’éducation nationale, sous l’intitulé de « Coronavirus et risque de replis communautaristes », est d’une clairvoyance inédite, à la fois, sur la complexité du « spectre des idées radicales du communautarisme », sur les « techniques et manières de procéder » des différents « groupes radicaux » porteurs de projets « anti-démocratiques et antirépublicains » et sur les « conduites à tenir » pour contrecarrer les visées « séparatistes » de tels groupes, qu’ils soient « communautaires, autoritaires ou inégalitaires ».
ll y a quelques temps, j’ai arrêté d’acheter du Nutella. A cause de l’huile de palme, de la déforestation et des orangs-outans, qui sont des primates de la famille des hominidés. Personne ne m’a dit « Tiens, c’est bizarre, t’es pourtant pas un orang-outan ». Je m’inquiète aussi pour les ours polaires, qui sont des mammifères de la famille des ursidés, qui clapotent sur la banquise, et pour les baleines, mammifères marins de l’ordre des cétacés, que les Japonais et les Norvégiens (je crois) harponnent jour et nuit, et pour les éléphants qui sont des mammifères proboscidiens… Personne ne m’a dit : « tiens, c’est bizarre, t’es pourtant pas une baleine. Ni un ours. Ni un éléphant ».
Selon l’idéologie islamique, aucun mode de vie n’est valable ou ne mérite d’être expérimenté, hormis celui défini par le Coran. Et donc même si tous les problèmes étaient résolus, l’intégrisme demeurerait. L’islam des Lumières tant attendu, tant désiré, cet islam rêvé est un « impossible ». Il ne fait que détourner les jeunes des valeurs universelles, les attirer davantage vers l’islam, puis vers le fondamentalisme, enfin le terrorisme. Aucun espoir de changement à moins d’abattre tout le système. Mais les musulmans d’Europe pratiquent une démarche inverse en exploitant le multi-culturalisme ambiant pour réclamer que les pays hôtes s’adaptent à leurs exigences religieuses.
Le 23 avril, la dépouille de Sajid Hussain, un ressortissant pakistanais qui avait obtenu l’asile politique en Suède en 2017, a été retrouvée dans le fleuve Fyris, près d’Uppsala. Selon la police suédoise, Sajid Hussain avait été vu pour la dernière fois, le 2 mars, à bord d’un train à Stockholm en direction d’Uppsala. Il était porté disparu durant près de deux mois, depuis qu’un rapport de disparition avait été déposé auprès de la police suédoise, le 3 mars.
Une pétition signée par un peu plus d’une centaine d’intellectuels et d’activistes exige que la ministre française de la justice annule les mises en examen de Tariq Ramadan pour viols et révoque les magistrats en charge de son dossier. En d’autres termes, que le politique foule aux pieds l’indépendance de la justice !
L’Afghanistan a subi deux attentats-suicides, le 12 mai. Le premier a frappé la maternité Dasht-e-Barchi, dirigée par Médecins Sans Frontières (MSF) à Kaboul, et a tué au moins 14 personnes, dont 2 nouveau-nés. Le second a eu lieu lors des funérailles d’un commandant de la police locale dans le district de Khewa à Nangarhar, tuant 24 personnes. Les deux attaques visaient des civils innocents, pour la plupart des femmes et des enfants.
La pandémie du Covid 19 exacerbe le ressentiment anti chinois dans les pays d’Asie centrale. Mais, malgré la grogne des populations, les gouvernements locaux, financièrement vulnérables à l’égard de Pékin, peinent à s’opposer au néo-impérialisme chinois.