Depuis la mi-février, alors que le régime iranien a tardé à reconnaître l’expansion globale de l’épidémie de coronavirus – et dénonçait « un complot de l’ennemi », dans le double contexte de la célébration de l’anniversaire de la Révolution islamique, le 11 février, et des élections législatives du 21 février – l’Iran, qui reste un des principaux foyers mondiaux de l’épidémie de Covid-19, inquiète ses pays voisins. Ceux-ci n’ont pas tardé à fermer leurs frontières dès le 19 février, avec l’annonce des premières personnes infectées au Moyen- Orient.
L’apparition, en décembre dernier, de l’épidémie due à une nouvelle souche de coronavirus, appelée Covid-19, et son évolution, en l’espace d’à peine trois mois, en pandémie essaimant à l’échelle mondiale, est tout sauf un événement prévisible. Pourtant, un étude prospective élaborée par la CIA présentait, dès novembre 2008, un « scénario » détaillé dont les développements épousent de façon extrêmement déconcertante la tournure inquiétante des événements depuis l’apparition des premiers cas de Covid-19 à Wuhan, en Chine !
L’apparition, en décembre dernier, de l’épidémie due à une nouvelle souche de coronavirus, appelée Covid-19, et son évolution, en l’espace d’à peine trois mois, en pandémie essaimant à l’échelle mondiale, est tout sauf un événement prévisible. Pourtant, un étude prospective élaborée par la CIA présentait, dès novembre 2008, un « scénario » détaillé dont les développements épousent de façon extrêmement déconcertante la tournure inquiétante des événements depuis l’apparition des premiers cas de Covid-19 à Wuhan, en Chine !
Voici l’intégralité du document original:
De tous les chefs des milices qui se disputent le pouvoir en Libye, depuis la chute de Kadhafi, Abdelhakim Belhaj est le plus controversé. Né en 1966, dans le quartier populaire de Souk al-Joumâa, à Tripoli, il rejoint, à 22 ans, les rangs des moudjahidines arabes en Afghanistan, où il fonde avec d’autres djihadistes, parmi ses compatriotes, le Groupe Islamique Combattant Libyen (GICL).
Alors que le pays, dont la dette publique atteint 166% du PIB, risque à tout moment un défaut de paiement, l’argent des nantis libanais s’évapore du côté des lacs Léman et de Zurich. Une commission rogatoire internationale a été adressée à la Suisse.
En dépit des joutes verbales enflammées et des gesticulations menaçantes promettant de venger sa mort, l’élimination du général Qassim Soleimani, tué par un drone américain, le 3 janvier dernier, non loin de l’aéroport de Bagdad, est un soulagement pour le Régime iranien ! Et pas seulement pour le courant réformiste, mené par le Président Hassan Rohani et son ministre des affaires étrangères, Mohammed Javad Zarif.