Le terrorisme continue à s’étendre en Afrique Centrale, notamment au Burkina-Faso et en Centrafrique, mais aussi au Congo-Kinshasa. Une instabilité régionale qui inquiète au plus haut niveau les Etats-Unis et les grandes puissances européennes. Et fait de la lutte antiterroriste un nouvel enjeu de taille en Afrique Centrale.
Une étude a récemment été réalisée par les grandes chancelleries occidentales pour juger des responsables africains les mieux préparés pour faire face à cette nouvelle menace. Le Président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, qui vient de signer un important accord avec le FMI, est apparu comme le plus à même de diriger un plan de stabilisation régionale.
Les diplomaties occidentales ont, de surplus, salué les qualités de certains de ses proches collaborateurs, comme le ministre Jean Dominique Okemba. Neveu du chef de l’Etat, responsable du Conseil National de Sécurité, il a discrètement et efficacement participé à la résolution de plusieurs conflits en Afrique Centrale et Afrique de l’Ouest.